Une assurance sur mesure pour les colocataires
Flora by Ethias lance l’assurance colocation pour enfin offrir à celles et ceux qui font ce choix une protection optimale.
Le nombre de colocations est en pleine expansion. À Bruxelles par exemple, les derniers chiffres officiels de 2018 indiquent que plus de 11% des biens en location[1] sont en réalité des… colocations. Mais à en croire le nombre d’annonces sur les réseaux sociaux et les sites spécialisés, la colocation est en croissance exponentielle.
Petit rappel pour commencer : en Belgique, l’assurance locataire est obligatoire par décret en Wallonie et en Flandre depuis plus de deux ans. En Région bruxelloise, elle est de plus en plus souvent exigée par le propriétaire dans le contrat de bail. Cette assurance a pour objectif de couvrir la responsabilité du locataire en cas de dommages causés à l’habitation du propriétaire ou aux habitations voisines, mais également aux biens du locataire si son assurance couvre le contenu. Alors quel est l’intérêt de développer un produit pour les colocataires ? La réponse est simple. L’assurance locataire se base sur une vision assez traditionnelle du ménage, à savoir une personne seule ou un couple, avec ou sans enfants. Pour ces personnes, une assurance locataire couplée à une assurance familiale offre une protection optimale. Mais quid des colocataires ? Ils partagent certes un même foyer, mais ne sont pas considérés comme un ménage pour autant, et encore moins comme une famille. Il est donc grand temps d’y remédier, c’est ce que Flora by Ethias vient de faire.
Explosion du nombre de colocataires
Le nombre de colocataires est en très forte croissance, surtout dans les centres urbains, et il était temps d’adapter l’offre à cette réelle évolution de la société. Sans surprise, ce succès s’explique par l’accès à la propriété, de plus en plus difficile pour les jeunes. « Selon notre dernière enquête, près de 85% des colocataires ont entre 18 et 29 ans », explique Jessica Lion, Head of Flora. « En tant qu’assureur digital et mobile, nous nous focalisons sur les attentes de la jeune génération. Il nous est donc apparu comme une évidence de créer une offre qui réponde à un réel besoin d’une part croissante des jeunes adultes. Il y a un an, presque jour pour jour, nous lancions la première assurance locataire 100% digitale. Près de la moitié de nos clients ont moins de 30 ans et, en un an, nous avons appris à bien les connaître. Nous savons qu’ils détestent les contrats compliqués remplis de jargon et qu’ils adorent la rapidité. Ils veulent pouvoir conclure leur contrat ou poser leurs questions à tout moment et attendent une réponse sans délai. Pas d’intermédiaire, pas de rendez-vous, ils font tout avec leur smartphone. »
Une aide pour résoudre les conflits entre colocataires
Concrètement, l’assurance colocataire de Flora est une assurance sans franchise qui offre à tous les membres de la colocation une couverture en responsabilité civile pour les dommages qu’ils causeraient à l’habitation de colocation ou aux habitations voisines. Cette protection est complétée par une assurance contenu qui intervient pour protéger toutes les affaires de la colocation (par exemple à la suite d’un dégât des eaux ou de feu). En option, les colocataires peuvent également se protéger contre le vol et le vandalisme. Enfin, et c’est une vraie nouveauté, ils peuvent aussi s’assurer pour les dégâts corporels et matériels causés par un colocataire à un autre colocataire. « Aucune assurance locataire sur le marché ne propose cette protection, et c’est là que nous comblons un vide très important pour les colocataires. Mais nous sommes allés encore plus loin. En étudiant le marché, nous nous sommes rendu compte que les colocataires vivent ce choix comme une vraie aventure. Et, comme dans toutes les aventures, il y a des hauts et des bas. Parfois des conflits peuvent éclater entre colocataires. Nous avons donc décidé d’ajouter un service d’aide à la gestion de conflits entre colocataires », conclut Jessica Lion.
Découvrez l’assurance pour les colocataires de Flora by Ethias !
[1] Observatoire des loyers (2018), Société du Logement de la Région de Bruxelles-Capitale